La course à la chefferie 2022
La page officielle de la course à la chefferie du Parti vert du Canada
À l'âge de 17 ans, Jonathan Pedneault s'est introduit clandestinement au Darfour avec des rebelles soudanais afin d'y documenter la crise meurtrière s'y déroulant. Il s'agissait de son premier documentaire pour la CBC et Radio-Canada. Pendant près deux ans, il avait donné des conférences à ses camarades étudiants sur le crime de génocide et la responsabilité du Canada afin de prévenir les atrocités de masse.
Fils d'une mère célibataire, gay et d’origine cubano-canadienne, Jonathan a été élevé dans les banlieues défavorisées de Montréal. Il a très vite compris à quel point il était privilégié d'être né au Canada. Cela a influencé tout ce qu'il a entrepris par la suite. Pour Jonathan, le privilège s'accompagne d'immenses responsabilités. Et il est du genre à prendre ses responsabilités au sérieux.
Au cours des quinze années qui ont suivi, Jonathan s'est employé à documenter des crises dans le monde entier et à plaider en faveur d'une plus grande justice sociale.
Dans le cadre de son travail, Jonathan a interviewé des pêcheurs devenus pirates en Somalie, documenté les abus sexuels commis par les casques bleus en République centrafricaine, été témoin de l'échec des révolutions en Égypte et en Libye et enquêté sur l'usage de la force excessive par la police dans des endroits aussi divers que le Chili, le Belarus et les États-Unis.
Avec deux années passées à vivre à Svalbard, dans l'extrême arctique, et des années de reportages dans des endroits touchés par des événements climatiques extrêmes comme le Sahel et l'Asie centrale, ou avec des réfugiés quittant des pays d'Amérique centrale touchés par la sécheresse et les ouragans, Jonathan s'est souvent retrouvé dans le ventre de la bête climatique. Il sait ce qui s'en vient. Et pourquoi il est urgent de se mobiliser.
Jonathan est un gars d'initiative, qui cherche à avoir un impact dans tout ce qu'il fait. Il pense que le parti vert du Canada est le seul parti faisant preuve du courage moral nécessaires à faire face aux crises à venir. Mais il croit aussi que le parti doit se ressaisir et se présenter comme l'alternative crédible qu'il est.
Avec Elizabeth May, il demande la confiance des membres afin d'habiliter le Parti vert du Canada à mettre en œuvre les changements dont les Canadiens d'un océan à l'autre ont besoin. Il s'agit, après tout, de notre responsabilité commune.
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