- Elizabeth May's life is defined by one word: service. Service to community, country and planet. One
- of Canada's best-known parliamentarians, she is a life long environmentalist. From 2006 to 2019, she
- led the Green Party of Canada through four federal elections, including the breakthrough 2011
- election in which she became Canada's first elected Green.
- From her early years as an environmental activist, struggling financially while waiting tables at
- the family restaurant in Cape Breton, to her work, as a single mom, bringing the voices of
- underprivileged communities to the halls of power, she has been a trail blazer for generations of
- Canadian women and activists.
- Elizabeth was the first Canadian environmentalist to identify how environmental racism caused
- marginalized people to be exposed to unacceptable threats to their health. Elizabeth used her legal
- training and resources to assist Indigenous peoples in Canada and around the world.
- When legal and political avenues failed to yield results, Elizabeth put her body, safety and
- well-being on the line. In May 2001, she went on a seventeen-day hunger strike in front of
- Parliament Hill protesting toxic conditions for the only predominately Black community on Cape
- Breton Island, near the infamous Sydney Tar Ponds. That work led directly to C-226, her Private
- Members Bill (PMB) on Environmental Racism. Defying the odds in the uphill struggle of PMBS, C-226
- follows two of her PMBs – now law - on Lyme Disease and banning keeping cetaceans in captivity. She
- stands on principle, resigning when her Environment Minister boss broke the law in 1988; resigning
- despite having had many successes in her role as Senior Policy Advisor - including the 1987 Montreal
- Protocol that saved the ozone layer. She was the only MP to intervene at the NEB against the
- pipeline, facing arrest in March 2018 protesting TMX.
- Canada and the world are failing to live up to their responsibilities towards future generations.
- Elizabeth is dedicating herself once again to ensure her grandkids inherit a livable future.
- Always deeply committed to the Green movement, she now asks members for their renewed trust to help
- give Canadians the credible, actionable alternative they deserve.
Français
- La vie d'Elizabeth May se définit par un mot : servir. Servir sa communauté, son pays et la planète.
- Faisant partie des parlementaires les plus connus du Canada, elle est écologiste de longue date. De
- 2006 à 2019, elle a dirigé le Parti vert du Canada lors de quatre élections et est devenue la
- première élue verte au pays.
- Elizabeth sait ce que ça signifie de vivre dans la précarité. Durant ses premières années en tant
- que militante écologiste, elle gagnait sa vie en servant des tables au Cap-Breton. Mère
- monoparentale, elle s'est dévoué à faire entendre les voix des communautés défavorisées dans les
- corridors du pouvoir, devenant une pionnière pour des générations de femmes et de militantes
- canadiennes.
- Elizabeth a été la première écologiste canadienne à déterminer comment le racisme environnemental
- exposait les personnes marginalisées et racisées à des menaces inacceptables pour leur santé. Se
- servant ensuite de sa formation juridique, Elizabeth a travaillé pour assister les peuples
- autochtones du Canada et du monde entier.
- Lorsque les voies juridiques et politiques n'ont pas donné de résultats, Elizabeth n'a jamais eu
- peur d'envisager d'autres voies. En mai 2001, elle a fait une grève de la faim de dix-sept jours
- devant le Parlement pour protester contre les conditions toxiques dans lesquelles vivait la seule
- communauté noire du Cap Breton, près des étangs bitumineux de Sydney. Ce travail a mené directement
- à son projet de loi d'initiative parlementaire sur le racisme environnemental.
- Il est rare que le Parlement adopte un projet de loi d'initiative parlementaire. Elizabeth l'a fait
- deux fois : sur la maladie de Lyme et sur l'interdiction de garder les cétacés en captivité.
- Elizabeth défend toujours ses principes. Lorsque le ministre de l'environnement a enfreint la loi en
- 1988, elle a démissionné de son poste de conseillère politique principale. À ce titre, elle avait
- mené les travaux relatifs au protocole de Montréal de 1987, qui a permis de sauver la couche
- d'ozone. Plus tard, elle a été la seule parlementaire à intervenir contre l'oléoduc TMX et à être
- arrêtée lors d'une manifestation à son encontre.
- Elizabeth May's life is defined by one word: service. Service to community, country and planet. One
- of Canada's best-known parliamentarians, she is a life long environmentalist. From 2006 to 2019, she
- led the Green Party of Canada through four federal elections, including the breakthrough 2011
- election in which she became Canada's first elected Green.
- From her early years as an environmental activist, struggling financially while waiting tables at
- the family restaurant in Cape Breton, to her work, as a single mom, bringing the voices of
- underprivileged communities to the halls of power, she has been a trail blazer for generations of
- Canadian women and activists.
- Elizabeth was the first Canadian environmentalist to identify how environmental racism caused
- marginalized people to be exposed to unacceptable threats to their health. Elizabeth used her legal
- training and resources to assist Indigenous peoples in Canada and around the world.
- When legal and political avenues failed to yield results, Elizabeth put her body, safety and
- well-being on the line. In May 2001, she went on a seventeen-day hunger strike in front of
- Parliament Hill protesting toxic conditions for the only predominately Black community on Cape
- Breton Island, near the infamous Sydney Tar Ponds. That work led directly to C-226, her Private
- Members Bill (PMB) on Environmental Racism. Defying the odds in the uphill struggle of PMBS, C-226
- follows two of her PMBs – now law - on Lyme Disease and banning keeping cetaceans in captivity. She
- stands on principle, resigning when her Environment Minister boss broke the law in 1988; resigning
- despite having had many successes in her role as Senior Policy Advisor - including the 1987 Montreal
- Protocol that saved the ozone layer. She was the only MP to intervene at the NEB against the
- pipeline, facing arrest in March 2018 protesting TMX.
- Canada and the world are failing to live up to their responsibilities towards future generations.
- Elizabeth is dedicating herself once again to ensure her grandkids inherit a livable future.
- Always deeply committed to the Green movement, she now asks members for their renewed trust to help
- give Canadians the credible, actionable alternative they deserve.
Français
- La vie d'Elizabeth May se définit par un mot : servir. Servir sa communauté, son pays et la planète.
- Faisant partie des parlementaires les plus connus du Canada, elle est écologiste de longue date. De
- 2006 à 2019, elle a dirigé le Parti vert du Canada lors de quatre élections et est devenue la
- première élue verte au pays.
- Elizabeth sait ce que ça signifie de vivre dans la précarité. Durant ses premières années en tant
- que militante écologiste, elle gagnait sa vie en servant des tables au Cap-Breton. Mère
- monoparentale, elle s'est dévoué à faire entendre les voix des communautés défavorisées dans les
- corridors du pouvoir, devenant une pionnière pour des générations de femmes et de militantes
- canadiennes.
- Elizabeth a été la première écologiste canadienne à déterminer comment le racisme environnemental
- exposait les personnes marginalisées et racisées à des menaces inacceptables pour leur santé. Se
- servant ensuite de sa formation juridique, Elizabeth a travaillé pour assister les peuples
- autochtones du Canada et du monde entier.
- Lorsque les voies juridiques et politiques n'ont pas donné de résultats, Elizabeth n'a jamais eu
- peur d'envisager d'autres voies. En mai 2001, elle a fait une grève de la faim de dix-sept jours
- devant le Parlement pour protester contre les conditions toxiques dans lesquelles vivait la seule
- communauté noire du Cap Breton, près des étangs bitumineux de Sydney. Ce travail a mené directement
- à son projet de loi d'initiative parlementaire sur le racisme environnemental.
- Il est rare que le Parlement adopte un projet de loi d'initiative parlementaire. Elizabeth l'a fait
- deux fois : sur la maladie de Lyme et sur l'interdiction de garder les cétacés en captivité.
- Elizabeth défend toujours ses principes. Lorsque le ministre de l'environnement a enfreint la loi en
- 1988, elle a démissionné de son poste de conseillère politique principale. À ce titre, elle avait
- mené les travaux relatifs au protocole de Montréal de 1987, qui a permis de sauver la couche
- d'ozone. Plus tard, elle a été la seule parlementaire à intervenir contre l'oléoduc TMX et à être
- arrêtée lors d'une manifestation à son encontre.