- At age 17, Jonathan Pedneault smuggled himself into Darfur in the back of a pick-up truck filled
-with rebels to document this deadly rights and environmental crisis for a CBC/Radio Canada- documentary. By then, he had spent two years giving conferences to fellow students about genocide
- and Canada's responsibility to prevent mass atrocities. That was his first foray into foreign
- reporting.
-A gay, mixed-race single son of a single mom, Jonathan was raised in poorer suburbs of Montreal. An- early understanding of how privileged he was to be born Canadian impacted everything he later set
- about to do. For Jonathan, privilege comes with immense responsibilities. And he is one to take
- responsibility seriously.
- Over the next fifteen years, Jonathan worked to report on crises throughout the world and advocate
- for greater accountability and global social justice.
- Through his work, Jonathan interviewed fishermen in Somalia who had turned to piracy to fight off
- illegal fishing, documented sexual abuses by UN peacekeepers in the Central African Republic,
- witnessed failed revolutions in Egypt and Libya and documented excessive force by police in places
- as diverse as Chile, Belarus and the United States.
- With two years spent living on Svalbard, in the high arctic, and years reporting from places
- affected by extreme weather events such as the Sahel and Central Asia or with refugees leaving
- drought and hurricane affected Central America to face abuses at southern US borders, Jonathan has
- been in the belly of the climate beast. He knows what's coming. And why we need to urgently get our
- act together.
- Jonathan is an organized thinker, who seeks impact in everything he does. He believes the Green
- Party of Canada is the only party that has shown the moral courage and strength needed to face the
- coming crises. But he believes the party too needs to get its act together, and project itself as
- the credible alternative it is. Together with Elizabeth May, he's asking the membership for a
- mandate to empower the GPC to implement the changes Canadians from coast to coast to coast need. It
- is, after all, our shared responsibility.
Français
- À l'âge de 17 ans, Jonathan Pedneault s'est introduit clandestinement au Darfour avec des rebelles
- soudanais afin d'y documenter la crise meurtrière s'y déroulant. Il s'agissait de son premier
- documentaire pour la CBC et Radio-Canada. Pendant près deux ans, il avait donné des conférences à
- ses camarades étudiants sur le crime de génocide et la responsabilité du Canada afin de prévenir les
- atrocités de masse.
- Fils d'une mère célibataire, gay et d’origine cubano-canadienne, Jonathan a été élevé dans les
- banlieues défavorisées de Montréal. Il a très vite compris à quel point il était privilégié d'être
- né au Canada. Cela a influencé tout ce qu'il a entrepris par la suite. Pour Jonathan, le privilège
- s'accompagne d'immenses responsabilités. Et il est du genre à prendre ses responsabilités au
- sérieux.
- Au cours des quinze années qui ont suivi, Jonathan s'est employé à documenter des crises dans le
- monde entier et à plaider en faveur d'une plus grande justice sociale.
- Dans le cadre de son travail, Jonathan a interviewé des pêcheurs devenus pirates en Somalie,
- documenté les abus sexuels commis par les casques bleus en République centrafricaine, été témoin de
- l'échec des révolutions en Égypte et en Libye et enquêté sur l'usage de la force excessive par la
- police dans des endroits aussi divers que le Chili, le Belarus et les États-Unis.
- Avec deux années passées à vivre à Svalbard, dans l'extrême arctique, et des années de reportages
- dans des endroits touchés par des événements climatiques extrêmes comme le Sahel et l'Asie centrale,
- ou avec des réfugiés quittant des pays d'Amérique centrale touchés par la sécheresse et les
- ouragans, Jonathan s'est souvent retrouvé dans le ventre de la bête climatique. Il sait ce qui s'en
- vient. Et pourquoi il est urgent de se mobiliser.
- Jonathan est un gars d'initiative, qui cherche à avoir un impact dans tout ce qu'il fait. Il pense
- que le parti vert du Canada est le seul parti faisant preuve du courage moral nécessaires à faire
- face aux crises à venir. Mais il croit aussi que le parti doit se ressaisir et se présenter comme
- l'alternative crédible qu'il est.
- Avec Elizabeth May, il demande la confiance des membres afin d'habiliter le Parti vert du Canada à
- mettre en œuvre les changements dont les Canadiens d'un océan à l'autre ont besoin. Il s'agit, après
- tout, de notre responsabilité commune.
- At age 17, Jonathan Pedneault smuggled himself into Darfur in the back of a pick-up truck filled
- +with rebels to document the deadly rights and environmental crisis for a CBC/Radio Canada
- documentary. By then, he had spent two years giving conferences to fellow students about genocide
- and Canada's responsibility to prevent mass atrocities. That was his first foray into foreign
- reporting.
- +A gay, mixed-race single son of a single mom, Jonathan was raised in a poor suburb of Montreal. An
- early understanding of how privileged he was to be born Canadian impacted everything he later set
- about to do. For Jonathan, privilege comes with immense responsibilities. And he is one to take
- responsibility seriously.
- Over the next fifteen years, Jonathan worked to report on crises throughout the world and advocate
- for greater accountability and global social justice.
- Through his work, Jonathan interviewed fishermen in Somalia who had turned to piracy to fight off
- illegal fishing, documented sexual abuses by UN peacekeepers in the Central African Republic,
- witnessed failed revolutions in Egypt and Libya and documented excessive force by police in places
- as diverse as Chile, Belarus and the United States.
- With two years spent living on Svalbard, in the high arctic, and years reporting from places
- affected by extreme weather events such as the Sahel and Central Asia or with refugees leaving
- drought and hurricane affected Central America to face abuses at southern US borders, Jonathan has
- been in the belly of the climate beast. He knows what's coming. And why we need to urgently get our
- act together.
- Jonathan is an organized thinker, who seeks impact in everything he does. He believes the Green
- Party of Canada is the only party that has shown the moral courage and strength needed to face the
- coming crises. But he believes the party too needs to get its act together, and project itself as
- the credible alternative it is. Together with Elizabeth May, he's asking the membership for a
- mandate to empower the GPC to implement the changes Canadians from coast to coast to coast need. It
- is, after all, our shared responsibility.
Français
- À l'âge de 17 ans, Jonathan Pedneault s'est introduit clandestinement au Darfour avec des rebelles
- soudanais afin d'y documenter la crise meurtrière s'y déroulant. Il s'agissait de son premier
- documentaire pour la CBC et Radio-Canada. Pendant près deux ans, il avait donné des conférences à
- ses camarades étudiants sur le crime de génocide et la responsabilité du Canada afin de prévenir les
- atrocités de masse.
- Fils d'une mère célibataire, gay et d’origine cubano-canadienne, Jonathan a été élevé dans les
- banlieues défavorisées de Montréal. Il a très vite compris à quel point il était privilégié d'être
- né au Canada. Cela a influencé tout ce qu'il a entrepris par la suite. Pour Jonathan, le privilège
- s'accompagne d'immenses responsabilités. Et il est du genre à prendre ses responsabilités au
- sérieux.
- Au cours des quinze années qui ont suivi, Jonathan s'est employé à documenter des crises dans le
- monde entier et à plaider en faveur d'une plus grande justice sociale.
- Dans le cadre de son travail, Jonathan a interviewé des pêcheurs devenus pirates en Somalie,
- documenté les abus sexuels commis par les casques bleus en République centrafricaine, été témoin de
- l'échec des révolutions en Égypte et en Libye et enquêté sur l'usage de la force excessive par la
- police dans des endroits aussi divers que le Chili, le Belarus et les États-Unis.
- Avec deux années passées à vivre à Svalbard, dans l'extrême arctique, et des années de reportages
- dans des endroits touchés par des événements climatiques extrêmes comme le Sahel et l'Asie centrale,
- ou avec des réfugiés quittant des pays d'Amérique centrale touchés par la sécheresse et les
- ouragans, Jonathan s'est souvent retrouvé dans le ventre de la bête climatique. Il sait ce qui s'en
- vient. Et pourquoi il est urgent de se mobiliser.
- Jonathan est un gars d'initiative, qui cherche à avoir un impact dans tout ce qu'il fait. Il pense
- que le parti vert du Canada est le seul parti faisant preuve du courage moral nécessaires à faire
- face aux crises à venir. Mais il croit aussi que le parti doit se ressaisir et se présenter comme
- l'alternative crédible qu'il est.
- Avec Elizabeth May, il demande la confiance des membres afin d'habiliter le Parti vert du Canada à
- mettre en œuvre les changements dont les Canadiens d'un océan à l'autre ont besoin. Il s'agit, après
- tout, de notre responsabilité commune.