-Proposal:- The GPC supports:
- * regulations such as caps on rent and land ownership, targeted taxation to combat speculation, and
- inclusionary zoning
- * federal transfers to provinces and municipalities to fund the creation, renovation, and regular
- maintenance of publicly owned and operated housing
- * expropriation and acquisition of land for use as public housing.
-Objective:- To address the housing crisis by increasing the amount of public housing, and providing new
- regulations to combat speculation and the hoarding of land and property by corporations and
- landlords.
-Benefit:- Housing precarity contributes to several mental health crises and the restriction of economic
- activity. Increasing the supply of non-market housing provides the most vulnerable Canadians with
- affordable solutions. Regulating the private market will combat the current runaway explosion in the
- price of housing affecting every province in the country.
-Supporting Comments from Submitter:- Housing precarity and poor unit quality can be significant factors in poor health (Hernandez &
- Suglia, 2016
- ( https://healthequity.globalpolicysolutions.org/wp-content/uploads/2016/12/Housing2.pdf )). Providing
- significant funding to improve quality and increase quantity of affordable housing solutions is a
- matter of public health concern.
- The mass creation of public housing has been used as a poverty-relief tool for centuries. Perhaps
- one of the most successful stories comes from the policies of Red Vienna
- ( https://citymonitor.ai/housing/red-vienna-how-austrias-capital-earned-its-place-in-housing-history )
- where heavy investments were made in the creation of public housing. Today, the city enjoys the
- status as being one of the cheapest big cities for renters in Europe with 60% of residents living in
- public housing.
- To illustrate the need for regulations such as caps on land and/or property ownership, caps on rent
- like the recent
- Berlin Rent Cap ( https://www.engelvoelkers.com/en-de/berlincommercial/rent-price-cap/ ), or
- taxation methods like those being explored byVancouver
- ( https://vancouver.ca/home-property-development/empty-homes-tax.aspx ), it is important to note that
- as of 2016 approximately1.34 million homes
- ( https://www.point2homes.com/news/canada-real-estate/ghost-homes-across-canada-decade-change-150-cities.html )
- sat empty across Canada. When paired with the fact that235,000 people
- ( https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/82-003-x/2021001/article/00002-eng.htm ) experience homelessness
- in any given year, it becomes evident that the issue of supply is not a lack of constructed units,
- but more an issue of excess ownership.
- Additional context to the pan-Canadian nature of housing precarity can be found by looking at the
- current state of the housing market. The Canadian Mortgage & Housing Corporation (CMHC) classifies
- housing as “affordable” if payments total no more than 30% of an individual’s monthly income. A
- useful case study in affordability, then, is to look at the average rent for a 1-bedroom unit in any
- major Canadian city compared to the monthly pre-tax income of a full-time minimum wage worker. For
- brevity, 8 cities will be looked at as an example using the conservative figures from the CMHC’s
- 2021 Rental Market Report
- ( https://assets.cmhc-schl.gc.ca/sites/cmhc/data-research/publications-reports/rental-market-reports/2020/rental-market-report-69720-2020-en.pdf?rev=936ca622-a6c5-4cbc-b937-d29b1d63cc14 )
- and 2020 Northern Housing Report
- ( https://assets.cmhc-schl.gc.ca/sites/cmhc/data-research/publications-reports/northern-housing-report/northern-housing-report-2020-69680-en.pdf?rev=2076ff8b-ebe4-44bc-a0f5-ba3a1995601d )
- and each province’s legal minimum wage. The results are as follows:
- * Calgary: Avg. 1-bed rent – $1087 (45% of income)
- * Halifax: Avg. 1-bed rent – $1016 (49% of income)
- * Montreal: Avg. 1-bed rent – $810 (37% of income)
- * Regina: Avg. 1-bed rent – $949 (52% of income)
- * Toronto: Avg. 1-bed rent – $1417 (62% of income)
- * Vancouver: Avg. 1-bed rent – $1415 (58% of income)
- * Winnipeg: Avg. 1-bed rent – $991 (52% of income)
- * Yellowknife: Avg. 1-bed rent – $1483 (61% of income)
- Making up a sizeable 10.4% of the Canadian labour force, the minimum wage worker is facing intense
- levels of housing precarity no matter what province or territory they reside in.
- The context for home-ownership is no less concerning. The average house price
- ( https://www.cbc.ca/news/canada/photos/canada-real-estate-prices-scroller-1.6004260#:~:text=price%20in%20Canada.-,Here's%20what%20you%20can%20get%20for%20that,average%20price%20sitting%20at%20%24716%2C828 )
- in Canada is $716,000, however the median Canadian income
- ( https://www150.statcan.gc.ca/t1/tbl1/en/tv.action?pid=1110023901 ) is approximately $38,000. This
- means that unless they have no dependents, medical expenses, transportation costs, leisure
- activities, or any expense other than rent and food, half the country’s workforce is unable to
- afford a down payment on the average Canadian house.
-Green Value(s):-Sustainability, Participatory Democracy, Social Justice.-Relation to Existing Policy:- Add to current GPC policy.
Français
- Proposition :
- Le PVC soutient :
- * Des réglementations telles que le plafonnement des loyers et de la propriété foncière, une
- fiscalité ciblée pour lutter contre la spéculation et le zonage inclusif.
- * Des transferts fédéraux aux provinces et aux municipalités pour financer la création, la
- rénovation et l'entretien régulier de logements appartenant à l'État et gérés par lui.
- * L'expropriation et l'acquisition de terrains pour en faire des logements sociaux.
- Objectif :
- S'attaquer à la crise du logement en augmentant le nombre de logements sociaux et en prévoyant de
- nouvelles réglementations pour lutter contre la spéculation et l'accaparement des terres et des
- biens par les entreprises et les propriétaires.
- Avantages :
- La précarité du logement contribue à plusieurs crises de santé mentale et à la restriction de
- l'activité économique. L'augmentation de l'offre de logements non marchands offre aux personnes les
- plus vulnérables des solutions abordables. La régulation du marché privé permettra de lutter contre
- l'explosion actuelle du prix des logements qui touche toutes les provinces du pays.
- Commentaires d’appui de l’auteur.e :
- La précarité du logement et la mauvaise qualité des unités peuvent être des facteurs importants de
- mauvaise santé (Hernandez et Suglia, 2016). L'octroi de fonds importants pour améliorer la qualité
- et augmenter la quantité de solutions de logement abordables est une question de santé publique.
- La création massive de logements sociaux est utilisée comme un outil de lutte contre la pauvreté
- depuis des siècles. L'une des histoires les plus réussies est peut-être celle de la politique de la
- Vienne rouge, qui a investi massivement dans la création de logements sociaux. Aujourd'hui, la ville
- jouit du statut de l'une des grandes villes les moins chères d'Europe pour les locataires, 60 % de
- sa population vivant dans des logements sociaux.
- Pour illustrer la nécessité de réglementations telles que des plafonds sur la propriété foncière
- et/ou immobilière, des plafonds sur les loyers comme le récent plafonnement des loyers à Berlin, ou
- des méthodes de taxation comme celles explorées par Vancouver, il est important de noter qu'en 2016,
- environ 1,34 million de logements étaient vides au Canada. Si l'on ajoute à cela le fait que 235 000
- personnes vivent en situation d'itinérance chaque année, il devient évident que le problème de
- l'offre n'est pas un manque d'unités construites, mais plutôt un problème de propriété excessive.
- La nature pancanadienne de la précarité du logement peut être mise en contexte en examinant l'état
- actuel du marché du logement. La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) considère
- qu'un logement est « abordable » si les paiements ne représentent pas plus de 30 % du revenu mensuel
- d'une personne. Une étude de cas utile sur l'abordabilité consiste donc à comparer le loyer moyen
- d'un logement d'une chambre à coucher dans une grande ville canadienne au revenu mensuel avant impôt
- d'une personne au salaire minimum à temps plein. Par souci de concision, nous examinerons huit
- villes à titre d'exemple en utilisant les chiffres prudents du Rapport sur le marché locatif 2021 et
- du Rapport sur le logement dans le Nord 2020 de la SCHL et le salaire minimum légal de chaque
- province. Les résultats sont les suivants :
- * Calgary : Loyer moyen - trois et demi - 1087 $ (45 % du revenu)
- Halifax : Loyer moyen - trois et demi - 1016 $ (49 % du revenu)
- * Montréal : Loyer moyen - trois et demi - 810 $ (37 % du revenu)
- * Regina : Loyer moyen - trois et demi - 949 $ (52 % du revenu)
- * Toronto : Loyer moyen - trois et demi - 1417 $ (62 % du revenu)
- * Vancouver : Loyer moyen - trois et demi - 1415 $ (58 % du revenu)
- * Winnipeg : Loyer moyen - trois et demi - 991 $ (52 % du revenu)
- * Yellowknife : Loyer moyen - trois et demi - 1483 $ (61 % du revenu)
- Les personnes qui travaillent au salaire minimum, qui représentent 10,4 % de la main-d'œuvre
- canadienne, sont confrontées à des niveaux élevés de précarité du logement, peu importe la province
- ou le territoire où ils habitent.
- Le contexte de l'accession à la propriété n'est pas moins préoccupant. Le prix moyen d'une maison au
- Canada est de 716 000 $, mais le revenu médian est d'environ 38 000 $. Cela signifie qu'à moins de
- ne pas avoir de personnes à charge, de frais médicaux, de frais de transport, d'activités de loisirs
- ou de toute autre dépense autre que le loyer et la nourriture, la moitié de la main-d'œuvre du pays
- n'est pas en mesure de verser un acompte sur la maison canadienne moyenne.
- Valeurs des verts :
- Durabilité, Démocratie participative, Justice sociale.
- Relation to Existing Policy:
- Add to current GPC policy.
- +Submitting Name
- +---------------
- +
- +Braeden Soltys
- +
- +Proposal
- +--------
- +
- The GPC supports:
- * regulations such as caps on rent and land ownership, targeted taxation to combat speculation, and
- inclusionary zoning
- * federal transfers to provinces and municipalities to fund the creation, renovation, and regular
- maintenance of publicly owned and operated housing
- * expropriation and acquisition of land for use as public housing.
- +Objective
- +---------
- +
- To address the housing crisis by increasing the amount of public housing, and providing new
- regulations to combat speculation and the hoarding of land and property by corporations and
- landlords.
- +Benefit
- +-------
- +
- Housing precarity contributes to several mental health crises and the restriction of economic
- activity. Increasing the supply of non-market housing provides the most vulnerable Canadians with
- affordable solutions. Regulating the private market will combat the current runaway explosion in the
- price of housing affecting every province in the country.
- +Supporting Comments from Submitter
- +----------------------------------
- +
- Housing precarity and poor unit quality can be significant factors in poor health (Hernandez &
- Suglia, 2016
- ( https://healthequity.globalpolicysolutions.org/wp-content/uploads/2016/12/Housing2.pdf )). Providing
- significant funding to improve quality and increase quantity of affordable housing solutions is a
- matter of public health concern.
- The mass creation of public housing has been used as a poverty-relief tool for centuries. Perhaps
- one of the most successful stories comes from the policies of Red Vienna
- ( https://citymonitor.ai/housing/red-vienna-how-austrias-capital-earned-its-place-in-housing-history )
- where heavy investments were made in the creation of public housing. Today, the city enjoys the
- status as being one of the cheapest big cities for renters in Europe with 60% of residents living in
- public housing.
- To illustrate the need for regulations such as caps on land and/or property ownership, caps on rent
- like the recent
- Berlin Rent Cap ( https://www.engelvoelkers.com/en-de/berlincommercial/rent-price-cap/ ), or
- taxation methods like those being explored byVancouver
- ( https://vancouver.ca/home-property-development/empty-homes-tax.aspx ), it is important to note that
- as of 2016 approximately1.34 million homes
- ( https://www.point2homes.com/news/canada-real-estate/ghost-homes-across-canada-decade-change-150-cities.html )
- sat empty across Canada. When paired with the fact that235,000 people
- ( https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/82-003-x/2021001/article/00002-eng.htm ) experience homelessness
- in any given year, it becomes evident that the issue of supply is not a lack of constructed units,
- but more an issue of excess ownership.
- Additional context to the pan-Canadian nature of housing precarity can be found by looking at the
- current state of the housing market. The Canadian Mortgage & Housing Corporation (CMHC) classifies
- housing as “affordable” if payments total no more than 30% of an individual’s monthly income. A
- useful case study in affordability, then, is to look at the average rent for a 1-bedroom unit in any
- major Canadian city compared to the monthly pre-tax income of a full-time minimum wage worker. For
- brevity, 8 cities will be looked at as an example using the conservative figures from the CMHC’s
- 2021 Rental Market Report
- ( https://assets.cmhc-schl.gc.ca/sites/cmhc/data-research/publications-reports/rental-market-reports/2020/rental-market-report-69720-2020-en.pdf?rev=936ca622-a6c5-4cbc-b937-d29b1d63cc14 )
- and 2020 Northern Housing Report
- ( https://assets.cmhc-schl.gc.ca/sites/cmhc/data-research/publications-reports/northern-housing-report/northern-housing-report-2020-69680-en.pdf?rev=2076ff8b-ebe4-44bc-a0f5-ba3a1995601d )
- and each province’s legal minimum wage. The results are as follows:
- * Calgary: Avg. 1-bed rent – $1087 (45% of income)
- * Halifax: Avg. 1-bed rent – $1016 (49% of income)
- * Montreal: Avg. 1-bed rent – $810 (37% of income)
- * Regina: Avg. 1-bed rent – $949 (52% of income)
- * Toronto: Avg. 1-bed rent – $1417 (62% of income)
- * Vancouver: Avg. 1-bed rent – $1415 (58% of income)
- * Winnipeg: Avg. 1-bed rent – $991 (52% of income)
- * Yellowknife: Avg. 1-bed rent – $1483 (61% of income)
- Making up a sizeable 10.4% of the Canadian labour force, the minimum wage worker is facing intense
- levels of housing precarity no matter what province or territory they reside in.
- The context for home-ownership is no less concerning. The average house price
- ( https://www.cbc.ca/news/canada/photos/canada-real-estate-prices-scroller-1.6004260#:~:text=price%20in%20Canada.-,Here's%20what%20you%20can%20get%20for%20that,average%20price%20sitting%20at%20%24716%2C828 )
- in Canada is $716,000, however the median Canadian income
- ( https://www150.statcan.gc.ca/t1/tbl1/en/tv.action?pid=1110023901 ) is approximately $38,000. This
- means that unless they have no dependents, medical expenses, transportation costs, leisure
- activities, or any expense other than rent and food, half the country’s workforce is unable to
- afford a down payment on the average Canadian house.
- +Green Value(s)
- +--------------
- +
- +Sustainability, Participatory Democracy, Social Justice
- +
- +Relation to Existing Policy
- +---------------------------
- Add to current GPC policy.
Français
- Proposition :
- Le PVC soutient :
- * Des réglementations telles que le plafonnement des loyers et de la propriété foncière, une
- fiscalité ciblée pour lutter contre la spéculation et le zonage inclusif.
- * Des transferts fédéraux aux provinces et aux municipalités pour financer la création, la
- rénovation et l'entretien régulier de logements appartenant à l'État et gérés par lui.
- * L'expropriation et l'acquisition de terrains pour en faire des logements sociaux.
- Objectif :
- S'attaquer à la crise du logement en augmentant le nombre de logements sociaux et en prévoyant de
- nouvelles réglementations pour lutter contre la spéculation et l'accaparement des terres et des
- biens par les entreprises et les propriétaires.
- Avantages :
- La précarité du logement contribue à plusieurs crises de santé mentale et à la restriction de
- l'activité économique. L'augmentation de l'offre de logements non marchands offre aux personnes les
- plus vulnérables des solutions abordables. La régulation du marché privé permettra de lutter contre
- l'explosion actuelle du prix des logements qui touche toutes les provinces du pays.
- Commentaires d’appui de l’auteur.e :
- La précarité du logement et la mauvaise qualité des unités peuvent être des facteurs importants de
- mauvaise santé (Hernandez et Suglia, 2016). L'octroi de fonds importants pour améliorer la qualité
- et augmenter la quantité de solutions de logement abordables est une question de santé publique.
- La création massive de logements sociaux est utilisée comme un outil de lutte contre la pauvreté
- depuis des siècles. L'une des histoires les plus réussies est peut-être celle de la politique de la
- Vienne rouge, qui a investi massivement dans la création de logements sociaux. Aujourd'hui, la ville
- jouit du statut de l'une des grandes villes les moins chères d'Europe pour les locataires, 60 % de
- sa population vivant dans des logements sociaux.
- Pour illustrer la nécessité de réglementations telles que des plafonds sur la propriété foncière
- et/ou immobilière, des plafonds sur les loyers comme le récent plafonnement des loyers à Berlin, ou
- des méthodes de taxation comme celles explorées par Vancouver, il est important de noter qu'en 2016,
- environ 1,34 million de logements étaient vides au Canada. Si l'on ajoute à cela le fait que 235 000
- personnes vivent en situation d'itinérance chaque année, il devient évident que le problème de
- l'offre n'est pas un manque d'unités construites, mais plutôt un problème de propriété excessive.
- La nature pancanadienne de la précarité du logement peut être mise en contexte en examinant l'état
- actuel du marché du logement. La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) considère
- qu'un logement est « abordable » si les paiements ne représentent pas plus de 30 % du revenu mensuel
- d'une personne. Une étude de cas utile sur l'abordabilité consiste donc à comparer le loyer moyen
- d'un logement d'une chambre à coucher dans une grande ville canadienne au revenu mensuel avant impôt
- d'une personne au salaire minimum à temps plein. Par souci de concision, nous examinerons huit
- villes à titre d'exemple en utilisant les chiffres prudents du Rapport sur le marché locatif 2021 et
- du Rapport sur le logement dans le Nord 2020 de la SCHL et le salaire minimum légal de chaque
- province. Les résultats sont les suivants :
- * Calgary : Loyer moyen - trois et demi - 1087 $ (45 % du revenu)
- Halifax : Loyer moyen - trois et demi - 1016 $ (49 % du revenu)
- * Montréal : Loyer moyen - trois et demi - 810 $ (37 % du revenu)
- * Regina : Loyer moyen - trois et demi - 949 $ (52 % du revenu)
- * Toronto : Loyer moyen - trois et demi - 1417 $ (62 % du revenu)
- * Vancouver : Loyer moyen - trois et demi - 1415 $ (58 % du revenu)
- * Winnipeg : Loyer moyen - trois et demi - 991 $ (52 % du revenu)
- * Yellowknife : Loyer moyen - trois et demi - 1483 $ (61 % du revenu)
- Les personnes qui travaillent au salaire minimum, qui représentent 10,4 % de la main-d'œuvre
- canadienne, sont confrontées à des niveaux élevés de précarité du logement, peu importe la province
- ou le territoire où ils habitent.
- Le contexte de l'accession à la propriété n'est pas moins préoccupant. Le prix moyen d'une maison au
- Canada est de 716 000 $, mais le revenu médian est d'environ 38 000 $. Cela signifie qu'à moins de
- ne pas avoir de personnes à charge, de frais médicaux, de frais de transport, d'activités de loisirs
- ou de toute autre dépense autre que le loyer et la nourriture, la moitié de la main-d'œuvre du pays
- n'est pas en mesure de verser un acompte sur la maison canadienne moyenne.
- Valeurs des verts :
- Durabilité, Démocratie participative, Justice sociale.
- Relation to Existing Policy:
- Add to current GPC policy.