Politique GPC et processus de développement de mouvement

Empreinte numérique

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Source: {"body":{"en":"<h4>Submitter Name</h4><p>Meryam Haddad</p><h4>Ratification Vote Results: Adopted</h4><h4><br></h4><h4>Proposal</h4><p>To amend Green Party Constitution Article 4.1.1 to read as follows: \"Fielding, endorsing, and electing members of the Party as candidates of the Party for election to the House of Commons and supporting their election”.</p><h4>Objective</h4><p>To give the Green Party more flexibility to field candidates strategically by prioritizing targeted ridings or engaging in cooperative electoral arrangements with other parties, by removing the constraint to run a Green Party candidate “in every riding.”</p><h4>Benefit</h4><p>This would allow the Party to focus more attention on priority ridings or to enter into mutually-beneficial collaborative arrangements, in order to win more seats, achieve official party status and possibly hold the balance of power to address urgent Green priorities such as electoral reform, vigorous climate action and social justice.</p><h4>Supporting Comments from Submitter</h4><p>Green Party supporters are very aware that to win seats, a party has to reach a certain threshold of support in a riding. Vote splitting and strategic voting makes it harder for a small party to win seats under our first-past-the-post system. In order to win seats, the Green Party is obliged to focus its efforts strategically in winnable ridings, as it has always done.</p><p>A supplementary measure could be to negotiate mutually beneficial arrangements with other parties to avoid splitting the vote. The current wording of Article 4.1.1. makes it impossible to consider such collaborative arrangements, however much they might benefit our Party and the implementation of Green Party policy and values.</p><p>We have reviewed the</p><p><a href=\"https://xfer.ndp.ca/2018/Documents/2018-CONSTITUTION.pdf\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">NDP of Canada Constitution</a>, the <a href=\"https://www.politicalpartydb.org/wp-content/uploads/2017/02/Canada_LiberalParty_2014.pdf\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">Liberal Party of Canada Constitution</a> and the <a href=\"https://cpcassets.conservative.ca/wp-content/uploads/2020/10/13160144/98161775845df04.pdf\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">Conservative Party of Canada Constitution</a> and were not able to find any explicit requirement by other parties to field a candidate in every riding as a constitutional requirement.</p><p>Collaboration across party lines has been proven to work in the past. On the right, in Canada, the most common arrangement has been the outright merger of parties. This is what allowed the Conservative Party of Canada to form government avec years in the wilderness starting in 2011. Mergers of this sort have taken place also in British Columbia and Alberta.</p><p>However, the constitutional amendment proposed here is not about mergers. It covers cases of collaboration in which both parties would maintain their own identities. Examples of this type of collaboration also exist. One example was the recent Unite to Remain Alliance in the 2019 UK election, which</p><p><a href=\"https://unitetoremain.org/sites/default/files/UTR.Review.of.GE2019.Results.14.Jan.2020.pdf\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">successfully increased the vote share of participating parties</a> in ridings where collaboration was involved. In France, alliances are systematically negotiated in every election. In the last legislative elections in 2017, these alliances allowed smaller parties who were part of those alliances <a href=\"https://en.wikipedia.org/wiki/2017_French_legislative_election#National_results\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">to win seats in rough proportion to their share of the vote</a>.&nbsp;</p><p>Simulations conducted by the <a href=\"https://docs.google.com/document/d/14Q4ty_b4OpLqG1kVWWx4n7Nn_DoHdliqFANPsNYE-Bw/edit#heading=h.1897zpdjrm48\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">One Time Alliance for Democratic Reform</a> and the <a href=\"https://drive.google.com/file/d/1dMHDFHHzgAs0mcXUN9XpLLUdY2WO_u0t/view\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">Climate Emergency Alliance</a> suggest that the Greens and the NDP could significantly increase their seat shares based on collaborative arrangements in key ridings.</p><h4>Green Value(s)</h4><p>Ecological Wisdom, Sustainability, Participatory Democracy, Social Justice, Respect for Diversity, Non-Violence.</p><h4>Relation to Existing Policy</h4><p><strong> </strong>This proposal would amend Article 4.1.1.</p>","fr":"<h4>Auteur</h4><p>Meryam Haddad</p><h4>Proposition</h4><p>Modifier l’article 4.1.1 de la Constitution du Parti vert pour qu’il se lise comme suit&nbsp;: «&nbsp;Présenter, appuyer et faire élire des membres du Parti en tant que candidates et candidats du Parti aux élections à la Chambre des communes et soutenir leur élection.&nbsp;»</p><h4>Objectif</h4><p>Donner au Parti vert plus de flexibilité pour présenter des candidatures stratégiques en supprimant la contrainte de présenter un candidat du Parti vert «&nbsp;dans chaque circonscription&nbsp;», afin de donner la priorité à des circonscriptions ciblées ou de conclure des ententes électorales avec d’autres partis.</p><h4>Avantages</h4><p>La modification proposée permettrait au Parti de se concentrer davantage sur les circonscriptions prioritaires et de conclure des ententes de coopération mutuellement bénéfiques, afin de remporter plus de sièges, d’obtenir le statut de parti officiel et peut-être aussi de détenir la «&nbsp;balance du pouvoir&nbsp;» pour répondre aux priorités urgentes des verts, telles que la réforme électorale, une action vigoureuse en faveur du climat et la justice sociale.</p><h4>Commentaires d’appui de l’auteur.e</h4><p>Les militants du Parti vert savent très bien que, pour gagner des sièges, un parti doit atteindre un certain seuil d’appui des électeurs. En raison du fractionnement des voix et des pratiques de vote stratégique, il est difficile pour un petit parti de remporter des sièges dans notre système uninominal à un tour. Afin de remporter des sièges, le Parti vert doit, comme il l’a toujours fait, concentrer ses énergies de manière stratégique dans les circonscriptions favorables.</p><p>Il pourrait également être avantageux de négocier des ententes mutuellement bénéfiques avec d’autres partis pour réduire le fractionnement du vote. La formulation actuelle de l’article 4.1.1. ne permet pas d’envisager de telles ententes de collaboration, quels que soient les avantages qu’elles pourraient présenter pour notre parti ainsi que pour la mise en œuvre de la politique et des valeurs des Verts.</p><p>Nous avons examiné la</p><p><a href=\"https://xfer.ndp.ca/2020/documents/Statuts%20du%20NPD%20-%202018%20%282020%29.pdf\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">Constitution du NPD du Canada</a>, la <a href=\"https://liberal.ca/wp-content/uploads/sites/292/2021/04/La-Constitution-du-Parti-liberal-du-Canada.pdf\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">Constitution du Parti libéral du Canada</a> et la <a href=\"https://cpcassets.conservative.ca/wp-content/uploads/2021/05/04094542/b33f2d6a6c6e334.pdf\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">Constitution du Parti conservateur du Canada</a> sans y trouver d’exigence explicite de présenter une candidature dans chacune des circonscriptions.</p><p>La collaboration entre certains partis a fait ses preuves dans le passé. À droite de l’échiquier politique canadien, la forme d’entente la plus courante a été la fusion pure et simple des partis. C’est ce qui a permis au Parti conservateur du Canada de former, en 2011, un gouvernement après des années de galère. Des fusions de ce type ont également eu lieu en Colombie-Britannique et en Alberta.</p><p>Cependant, la modification constitutionnelle proposée ici ne concerne pas les fusions. Elle vise à permettre des ententes de collaboration où chaque parti conserve sa propre identité. Des exemples de ce type existent. On peut notamment citer le cas récent de l'alliance</p><p><em>Unite to Remain</em> à l’élection britannique de 2019, qui a <a href=\"https://unitetoremain.org/sites/default/files/UTR.Review.of.GE2019.Results.14.Jan.2020.pdf\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">réussi à augmenter la part de voix des partis participants</a> dans les circonscriptions où ils ont coopéré. En France, les alliances sont systématiquement négociées à chaque élection. Aux dernières élections législatives de 2017, ces alliances ont permis aux petits partis <a href=\"https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lections_l%C3%A9gislatives_fran%C3%A7aises_de_2017\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">de remporter des sièges de manière à peu près proportionnelle à leur part de voix</a>.</p><p>Des simulations réalisées par</p><p><a href=\"https://www.onetimealliance.ca/accueil/notre-vision\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">l’Alliance d’un tour pour la réforme démocratique</a> et <a href=\"https://climatealliance.ca/fr/\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">l’Alliance d’urgence climatique</a> suggèrent que des ententes de coopération dans des circonscriptions clés permettraient aux verts et aux néo-démocrates d’augmenter considérablement leurs parts de sièges.</p><h4>Valeur(s) Vertes</h4><p>Sagesse écologique, développement durable, démocratie participative, justice sociale, respect de la diversité, non-violence</p><h4>Lien avec la politique actuelle</h4><p>Cette proposition modifierait l’article 4.1.1. de notre constitution.</p>"},"title":{"en":"G21-C010 Remove Requirement to Field Candidates in All Ridings to Allow Strategic Exceptions","fr":"G21-C010 Supprimer l'obligation de présenter une personne candidate dans toutes les circonscriptions, afin de permettre les exceptions stratégiques"}}

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